22/2/2010
Bangkok sur le chemin du retour
Je quitte Phet et son guesthouse vraiment à contrecoeur. Cette fois-ci, je pars un peu plus tard – à 8h.
Par la suite je dois regretter ce départ tardif:
je vois le ferry rapide s’éloigner à mon arrivée, le suivant est un « lent », mais vraiment lent. Du coup, je n’ai pas mon bus pour Bangkok ni de 9h30 ni celui de 10h30 mais celui de 11h45.
Un bus moderne à deux étages. Peu de place, pourtant, pour mes jambes et des passagers jeunes sans complexes: notamment, on ne ferme jamais la porte des WC. Oh, les odeurs!!
Une fois au terminal de bus de l’est (Ekkamai), ça continue beaucoup mieux et je m’installe au Riverview vers 19 h.
L’hôtel à encore changé la direction de restaurant et je vais tester la nouvelle équipe (l’ancienne était d’une insupportable négligence…).
On peut le conseiller de nouveau et, ce soir, j’admire la vue merveilleuse que la terrasse du restaurant offre sur la RIVIERE. Cette rivière, le Chao Phraya, est superbe et fait de Bangkok, rien que pour elle, une station incontournable du voyageur en Asie du sud-est.
23/2/2010
Après une bonne nuit, je commence ma journée « Bangkok ».
- déjeuner au pain « maison » sur Rambutri, Banglamphu: un coin calme inhabituel pour le quartier de l’infame rue « Khao San ».
- achat de livres pour le reste du voyage. J’ai même trouvé un de mes auteurs préférés: Tony Hillermann. Super!
- Retour à Chinatown et déjeûner au « Golden Duck » où je suis maintenant client attitré. Mme. Découpe, comme toujours, ces délicieux canards qui font la renommée de laé maison et M. garde un oeil attentif sur les filles de salle. On sert pas mons de 37 canards à midi, pas mal!
- sieste pendant les heures les plus insupportables des après-midis du Bangkok de février
- rendez-vous chez mon dentiste de Siam Square.
Tout va bien et ma dentition est désormais pratiquement complète. Les soins dentaires ici sont exemplaires: à recommander.
Tout ces déplacements en ville sont possibles et rapides grâce au « riverboat express », une sorte de tramway fluvial d’une grande simplicité et efficacité. Ce sont encore des bâteaux en bois, à moteur surpuissant: ça va vite! Les arrêts aux pontons se font à quelques centimètres près et les transbordements ne prennent que quelques secondes: fabuleux!
A quand ça à Paris?
Ce soir, grosse fatigue et je me couche tôt.
24/2/2010
Petit déjeûner sur la terrace du retaurant. Malgré l’heure matinale, le trafic sur le fleuve est déjà intense:
On fait les valises, mon train pour Chumphon part à 15h10. Arrivée à 23h30.
Par précaution, vue l’heure tardive, j’ai retenu une chambre au « Chumphon Gardens » J’ai hâte de me coucher ce soir. (demain matin?)